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LE GROUPE IDEC ACCOMPAGNE L’ATHLÈTE EMMA CLAIR-DUMONT POUR SON NOUVEAU DÉFI : L’ASCENSION DU MONT EVEREST

Le GROUPE IDEC a le plaisir d’accompagner Emma CLAIR-DUMONT dans son défi du « Five Summits Challenge » avec son ascension du Mont Everest qui culmine à 8 848 mètres de hauteur. L’athlète française entamera la montée le 10 avril 2022 pour une expédition d’une cinquantaine de jours. Ce partenariat s’inscrit dans l’engagement du GROUPE IDEC auprès de sportifs de haut niveau partageant ses valeurs.

Emma CLAIR-DUMONT, une femme aux défis exceptionnels

Emma CLAIR-DUMONT est une sportive amatrice de 45 ans travaillant dans l’évènementiel sportif. Il y a 15 ans, Emma s’est donné plusieurs défis à réaliser compilés dans une liste de souhaits. « Je voulais faire un certain nombre de choses, j’ai donc listé les projets que je voulais mener. Il y avait beaucoup de voyages mais aussi la découverte de disciplines que je ne connaissais pas comme courir un marathon » explique la sportive. C’est le commencement d’une liste conséquente de défis tous plus impressionnant les uns que les autres.

Le « Five Summits Challenge » : déjà 3 ascensions sur 5

Le « Five Summits Challenge » consiste à gravir un des plus hauts sommets présents sur chacun des 5 continents. « Je voulais savoir si j’étais apte à faire une ascension en altitude, ce que je n’avais jamais fait. J’ai donc commencé par gravir le Mont Kilimandjaro en 2009 par la voie de Tanzanie, ça m’a beaucoup plus et je me suis bien acclimaté à la montée ». Après avoir échangé avec différents alpinistes, ces derniers lui ont parlé du défi « Five Summits Challenge ». Après le Mont Kilimandjaro en Afrique, Emma a atteint le sommet du Mont Blanc pour l’Europe en 2010, elle a ensuite gravi le Mont Aconcagua en 2015 pour l’Amérique et l’Island Peak en 2019. L’athlète française se prépare actuellement pour l’ascension du Mont Everest pour l’Asie. « Ce sera un sommet plus difficile que les autres puisqu’au-dessus des 7 000 mètres d’altitude il n’y a très peu d’oxygène disponible ». Il ne restera ensuite à Emma qu’à gravir le Mont Kosciusko en Océanie prévu pour 2023 pour compléter son challenge.

Une préparation spéciale

Pour ce défi, l’athlète française a entamé une préparation spécifique afin de s’adapter aux conditions particulières de l’ascension. Le Mont Everest culminant à près de 9 000 mètres d’altitude, la manque d’oxygénation du cerveau pendant plusieurs jours est une des contraintes de la montée qui nécessite une bonne forme physique et psychologique. « J’ai une préparation physique où je suis suivi par des experts avec qui je travaille des mouvements spécifiques à cette ascension. Je m’entraine avec une machine qui permet de simuler des activités physiques dans des conditions d’altitude. Je dors trois fois par semaine dans une tente qui simule les conditions d’altitude puisque la phase de récupération lors d’une ascension est primordiale, c’est pendant le sommeil qu’on s’adapte le mieux » nous détaille Emma sur son programme d’entrainement. L’athlète est également partie un mois à Chamonix afin de tester son matériel dans des conditions réelles et pour faire des courses d’alpinisme avec un guide. « Je suis également suivi psychologiquement avec une thérapie de Programmation Neuro Linguistique qui me permet d’exprimer mes inquiétudes et appréhensions pour cette ascension pour que quand elles se manifesteront je puisse les gérer plus facilement » explique la sportive.

Objectif : Être la 13ème française à gravir le « Toit du Monde »

Douze françaises ont pour l’instant atteint le sommet du « Toit du Monde ». Avec ce nouveau challenge, Emma pourrait être la 13ème à réussir cette ascension jusqu’au plus haut sommet du monde. « C’est une certaine fierté pour moi de faire aboutir ce projet, ce travail de longue haleine qui a pris plusieurs années et de faire partie des femmes qui tentent cette ascension » partage l’athlète. Pour elle, ce projet elle le doit aussi à son entourage qui l’encourage et la soutient ce qui lui permet « d’être bien dans sa peau » comme elle l’explique. « Que l’on soit une femme ou un homme, quelles que soient nos origines ou notre situation de départ les clés pour atteindre ses objectifs sont de faire preuve de volonté, de détermination et de partager cette expérience ».

Une ascension éco-responsable avec le projet Clean Everest

Pour ce projet, Emma s’est associée à Marion CHAYGNEAUD-DUPUY, une alpiniste française ayant déjà gravi le Mont Everest, qui a lancé avec d’autres alpinistes l’organisme « MOUTAIN SYNERGIES » pour pratiquer ce sport de manière éco-responsable, qui sensibilise notamment les sportifs à ne pas laisser leurs déchets sur place. « J’ai signé la charte de ‘Moutain Synergies’ qui me responsabilise par rapport à mes déchets lors de la montée » explique Emma. « On s’engage aussi à respecter les populations en limitant le poids pour nos porteurs, on ramène 6 à 8 kilos de déchets puisque c’est ce qu’on utilise en moyenne lors de cette expédition, on évite d’amener des emballages plastiques et on s’engage à payer le juste prix pour l’ensemble des porteurs et des guides pour qu’ils soient rémunérés à la juste valeur de leur travail ».

Des valeurs très présentes et importantes

« Le partage est extrêmement important pour moi » explique Emma. « Je réalise des défis sportifs mais réaliser une performance ne m’intéresse pas, je veux apprendre des choses. Mes challenges ont du sens parce que je suis entouré de personnes qui portent les mêmes valeurs que moi ».  Partage, courage, détermination et l’envie de se dépasser sont les valeurs qui lui font écho. En ce sens, l’athlète est partenaire de l’association T’Cap 21 qui accompagne et favorise l’intégration de jeunes porteurs de trisomie 21. Une partie des fonds qu’elle récoltera pour ce défi sera reversée à cette association. « J’ai de la chance d’être en bonne santé et quand j’ai rencontré une mère sportive dont sa fille est porteuse de ce syndrome qui m’a parlé de son association et de toutes les actions mises en place pour ces jeunes et je me suis dit que je devais partager et faire bénéficier des fonds que je récolte pour permettre à cette association de réaliser encore plus de projets ».

Le milieu entrepreneurial et le sport : des valeurs partagées

Emma a une expérience importante du monde de l’entreprise et a travaillé pour de nombreux groupes. Pour elle, les valeurs de ces deux milieux sont très similaires et se font échos. « Personnellement j’aime cultiver la différence par le biais de défis qui peuvent être sportifs mais également dans ma vie professionnelle. J’ai toujours évolué dans des milieux masculins, mon père m’a mis sur une moto à 5 ans et dans mes études qui étaient à dominante masculine nous étions 2 femmes dans ma classe. J’aime cette culture de la différence possible et je défie les conditionnements dans lesquels on baigne depuis petit » explique Emma qui ajoute « quand on a envie de faire quelque chose, que l’on soit une femme ou un homme, que ce soit sportivement ou en entreprise, il suffit d’avoir de la volonté, de la détermination et de savoir s’entourer pour construire de belles choses ». L’athlète ajoute « il faut provoquer sa chance, le partenariat avec le GROUPE IDEC n’est pas anodin, c’est un Groupe qui partage les mêmes valeurs que moi avec l’audace, le challenge et le dépassement de soi ».

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