Paul Lafargue, Paul-Loup Chatin et Richard Bradley décrochent la septième position dans une course animée à Spa. La #22 United Autosport était intouchable lors des 4h de Spa 2020 mais IDEC SPORT a donné son meilleur tout au long du week-end pour aller chercher la septième place et marquer ses premiers points de la saison 2020.
Arrivée en confiance, l’écurie IDEC SPORT a été surprise par le changement de piste depuis les essais privés réalisés à Spa il y a quelques semaines. « Au début du week-end on a dû réapprendre la piste. Elle manquait vraiment d’adhérence par rapport à ce qu’on avait vu. Donc on se cherchait un peu vu que nos réglages n’étaient plus valables, » explique Paul Lafargue. »
La prochaine épreuve se tiendra au Castellet le 29 août en remplacement des quatre heures de Barcelone. « On aime bien le Paul-Ricard et on a des vraies idées pour améliorer la voiture par rapport à la course d’ouverture de la saison. La course va être à moitié nocturne donc ça sera un facteur différenciant. Ce qui serait intéressant ce serait de mettre la chicane au milieu de la ligne droite du mistral, » suggère Paul-Loup Chatin. Si les organisateurs lisent ces lignes…
Arrivée en confiance, l’écurie IDEC SPORT a été surprise par le changement de piste depuis les essais privés réalisés à Spa il y a quelques semaines. « Au début du week-end on a dû réapprendre la piste. Elle manquait vraiment d’adhérence par rapport à ce qu’on avait vu. Donc on se cherchait un peu vu que nos réglages n’étaient plus valables, » explique Paul Lafargue. »
« La grosse température a eu un fort impact sur l’adhérence générale. Nos certitudes ne fonctionnaient plus. On a été un peu long à réagir. On aura toujours des réglages à découvrir sur ces voitures. En plus on a des nouveaux pneus et c’est le seul élément qui touche la piste, » relate Paul-Loup Chatin.
L’Oreca #28 était donc compliquée à régler et Richard Bradley n’a effectué qu’un seul tour chronométré lors des qualifications, sentant que les conditions n’étaient pas optimales. Le britannique décroche le huitième temps à plus d’une seconde et demi de la pole.
La voiture a été assouplie pour la course et Paul Lafargue a pu effectué un premier relais probant malgré un trafic intense. Le pilote IDEC SPORT a livré une superbe bataille face à l’ex-pilote de F1 Anthony Davidson avant de passer le volant à Paul-Loup Chatin.
Malheureusement, un doute est venu perturber l’écurie française lors d’un arrêt au stand. La GDrive est sortie de piste et la direction de course a annoncé la piste humide. La décision est prise de passer en pneus pluie, avant de faire marche arrière et de rechausser les pneus slicks. Au total, ce sont cinquante secondes qui se sont envolées.
« Par moments, il faut prendre une décision en une seconde. Sur quatre heures de course, il y avait une minute de doute et notre arrêt est tombé à ce moment là, » confie Paul-Loup. « Le résultat ne reflète pas notre travail. je suis entre soulagement et satisfaction. On a retrouvé du rythme et on n’a rien lâché, » défend Paul Lafargue.
La #28 championne en titre passe sous le drapeau à damier en septième position. Cinquante secondes plus tôt, elle aurait pu se trouver en deuxième place…
L’Oreca #28 était donc compliquée à régler et Richard Bradley n’a effectué qu’un seul tour chronométré lors des qualifications, sentant que les conditions n’étaient pas optimales. Le britannique décroche le huitième temps à plus d’une seconde et demi de la pole.
La voiture a été assouplie pour la course et Paul Lafargue a pu effectué un premier relais probant malgré un trafic intense. Le pilote IDEC SPORT a livré une superbe bataille face à l’ex-pilote de F1 Anthony Davidson avant de passer le volant à Paul-Loup Chatin.
Malheureusement, un doute est venu perturber l’écurie française lors d’un arrêt au stand. La GDrive est sortie de piste et la direction de course a annoncé la piste humide. La décision est prise de passer en pneus pluie, avant de faire marche arrière et de rechausser les pneus slicks. Au total, ce sont cinquante secondes qui se sont envolées.
« Par moments, il faut prendre une décision en une seconde. Sur quatre heures de course, il y avait une minute de doute et notre arrêt est tombé à ce moment là, » confie Paul-Loup. « Le résultat ne reflète pas notre travail. je suis entre soulagement et satisfaction. On a retrouvé du rythme et on n’a rien lâché, » défend Paul Lafargue.
La #28 championne en titre passe sous le drapeau à damier en septième position. Cinquante secondes plus tôt, elle aurait pu se trouver en deuxième place…
« Ce week-end a été enrichissant. On a compris des choses, mais c’est frustrant. On n’a pas trouvé le bon set-up tout de suite. Notre erreur stratégique nous coûte cher. Il y a forcément un peu de frustration mais ce sont des faits de course, » résume Paul-Loup Chatin.
La prochaine épreuve se tiendra au Castellet le 29 août en remplacement des quatre heures de Barcelone. « On aime bien le Paul-Ricard et on a des vraies idées pour améliorer la voiture par rapport à la course d’ouverture de la saison. La course va être à moitié nocturne donc ça sera un facteur différenciant. Ce qui serait intéressant ce serait de mettre la chicane au milieu de la ligne droite du mistral, » suggère Paul-Loup Chatin. Si les organisateurs lisent ces lignes…